Par Oliver R. Hoor (cf. portrait gauche) et Philippe Neefs (cf. portrait droite), KPMG Luxembourg
Ces dernières années ont vu une augmentation du nombre de musulmans désirant mener leurs affaires d’une manière qui soit plus en harmonie avec la Sharia. Les banques et les sociétés de financement ont dû développer des produits et services remplissant cette obligation. Pour les praticiens qui ne sont pas familiers avec la finance islamique, l’approche de ce domaine pourrait naturellement paraître délicate. Par exemple, il est bien connu que l’Islam interdit les intérêts. Mais quel raisonnement se cache derrière cette interdiction? Et si les intérêts ne sont pas permis, de quelle manière peut on recevoir des revenus? Ce sont ces questions qui vont être analysées dans le présent...
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