En février dernier, l’UBS a annoncé, à la surprise générale, le démantèlement de sa division Private Banking. Mais, en cela, la banque suisse n’a fait que rejoindre plusieurs grandes banques engagées en gestion de fortune (Citibank, Chase), qui ont aussi procédé récemment à de profondes restructurations de leur gestion privée. Pourquoi un tel comportement, alors que le marché se développe constamment et que de nouveaux acteurs ne cessent d’apparaître ?
Il existe naturellement des causes propres à chaque établissement, mais aussi un point commun à toutes ces banques : elles ont découvert qu’une partie, parfois non négligeable, de leur clientèle, ne justifiait pas, ou plus, un traitement relevant réellement du “private banking”.
Les outils de segmentation et de datamining...
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