Les autorités luxembourgeoises ont perdu leurs “a priori” d’antan sur les sociétés de travail intérimaire. La collaboration n’a jamais été aussi active avec les ministères du travail, l’administration de l’Emploi et même le ministère de la Promotion féminine. “Le travail intérimaire se pose de plus en plus comme un régulateur du marché du travail” affirme Nadine Kneip, manager de Randstad à Luxembourg. “Les autorités admettent que nous contribuions à réguler le marché et remplissions ses besoins de flexibilité” poursuit-elle. De plus sans le vaste réservoir de jeunes diplômés toujours renouvelé des entreprises intérimaires, le “gap” se creuserait encore davantage entre une offre pléthorique et une demande languissante. Cette société a beaucoup contribué à donner à l’intérim ses lettres...
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