Par Greg Hopper, Head of Global High Yield*
Dans un environnement marqué par une accélération vraisemblablement modeste de la croissance observée ces dernières années, la contraction des spreads de crédit devrait selon nous au moins absorber la hausse probablement minime des rendements des emprunts d’État.
Ces influences contradictoires ont toutes les chances de se traduire par une performance absolue de l’ordre de 6% des obligations high yield américaines, un chiffre très similaire à celui qu’elles semblent en passe de réaliser en 2013. Il convient de noter que la contraction des spreads nécessaire pour compenser la hausse des taux d’intérêt qui devrait intervenir dans un environnement marqué par une croissance peu soutenue n’en laisserait...
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