Les investisseurs n'anticipent pas une accélération des réformes en France après la clarification de la ligne économique et la nomination du gouvernement Valls II qui sont perçues comme favorables pour la Bourse et le maintien de taux d'intérêt bas. L'arrivée au ministère de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique d'Emmanuel Macron, ex-banquier d'affaires chez Rothschild et ancien conseiller économique de François Hollande, en remplacement d'Arnaud Montebourg, mais avec un portefeuille plus large, est perçue comme un signal contribuant à renforcer la crédibilité de l'exécutif vis-à-vis de l'Union européenne.
"Nous pensons que cette nomination est un message politique très fort destiné à mettre un terme à la confusion sur les politiques économiques qui prévalait...
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