L’Union européenne, appuyée par la France et l’Allemagne, a maintenu mardi la pression sur les laboratoires pharmaceutiques, en particulier AstraZeneca, pour qu’ils honorent leurs promesses de livraisons de vaccins anti-COVID, quitte à contrôler strictement leurs exportations. Après Pfizer, qui a annoncé le 15 janvier une réduction temporaire de sa production, AstraZeneca a informé vendredi l’UE que ses livraisons seraient inférieures aux volumes convenus avec Bruxelles en raison d’un problème de production.
“L’Europe a investi des milliards pour aider à développer les premiers vaccins contre le COVID-19 au monde. Pour créer un bien commun véritablement mondial. Et maintenant, les entreprises doivent tenir leurs promesses. Elles doivent honorer leurs obligations”, a...
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