Un sentiment de fin du monde, et pourtant des signes de reprise
Marchés en perdition, contraction de l’activité, pertes de crédit… Le constat est évident: la crise est sans précédent. A cela s’ajoute une perte de confiance des opérateurs. Tout ceci amène le sentiment à prédominer sur les fondamentaux, aussi bien dans la valorisation des titres que dans les comportements des investisseurs. Or, en 1979, on parlait déjà de la «mort» du marché des actions, tout comme en 2003, d’ailleurs. Ces deux années ont pourtant connu de très forts rebonds durables sur une période de marché baissier. Il serait aussi envisageable qu’un scénario à la japonaise se mette en place avec simplement un rebond technique après une phase de stabilisation, mais des signes d’amélioration tendent à...
|