Au risque de me répéter, le potentiel d’appréciation sur 3 à 5 ans des marchés boursiers des principaux pays industrialisés me semble très limité à partir des niveaux de fin 2009. Ceci peut surprendre après une décennie où les marchés ont fait du surplace mais n’est que la conséquence de l’extrême surévaluation des actions à la fin des années 90. Le niveau très bas des taux d’intérêt et la détérioration des finances publiques feront toutefois en sorte que de nombreux investisseurs continueront à rechercher des alternatives aux placements monétaires et obligataires. Plus que jamais, une stratégie active me semble dès lors nécessaire en matière d’investissement en actions. Un aspect d’une telle stratégie active consiste à essayer d’identifier à l’intérieur des marchés, des régions, segments...
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