Pierre Bonelli, le PDG de Bull, devrait présenter deux alternatives à ses administrateurs aujourd’hui : soit l’injection de 50 millions d’euros de la part du fonds américain Gores Technology (qui prendrait alors le contrôle de la société), soit un financement de 20 millions apporté par un pool d’investisseurs, dont France Telecom, NEC et AXA Private Equity, et d'une dizaine de millions supplémentaires apportés par le management. Rappelons que NEC et France Telecom sont déjà actionnaires du groupe français d’informatique mais qu’ils ont jusqu’à présent refusé de le soutenir financièrement : il semble donc que les résultats semestriels les ont fait changer d’avis. Si ces options sont retenues, elles devront encore être présentées à Bruxelles, où la Commission européenne commence à...
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