Le rapprochement de la période de mai à octobre, qui historiquement a été nettement moins favorable pour les actions que la période de novembre à avril, plaide pour une augmentation de la volatilité des actions dans les mois à venir. C’est ce que prétendent Guy Wagner, chief investment officer de la Banque de Luxembourg, et son équipe dans l’analyse mensuelle, les ‘Highlights’.
L’économie mondiale continue à bénéficier de la faiblesse des prix pétroliers pour maintenir un rythme de croissance relativement stable. Au niveau géographique, les statistiques conjoncturelles européennes ont surpris agréablement au cours des dernières semaines, aidées par le recul de la monnaie commune. Aux Etats-Unis par contre, les conditions...
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