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Les perspectives des marchés boursiers pour les mois qui viennent n'ont rien de réjouissant, selon plusieurs opérateurs, pour qui le pétrole et l'élection présidentielle américaine sont autant d'éléments qui condamnent par avance tout espoir de hausse des indices. Fin juin, il existait un très large consensus au sein des analystes pour considérer que les Bourses allaient vers un "rallye" d'été, qui aurait dû mener les indices près de leurs objectifs de fin d'année. Un mois et demi plus tard, force est de constater que, loin de bondir, la plupart des marchés sont au contraire revenus en dessous de leur niveau de début janvier, effaçant des gains qui n'avaient pourtant rien d'impressionnant. Et le pire est peut-être encore à venir, comme le craint Olivier Ferron, stratégiste du courtier...
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