C’est avec ces mots que le Premier ministre Jean-Claude Juncker a décrit la situation économique, sociale et financière du pays lors de son discours du 10 avril sur l’état de la nation. Le président de la Fedil, Robert Dennewald, a partagé cette déclaration dans son discours lors de l’assemblée générale de la Fedil, qui s’est tenue le 11 mars 2013. Néanmoins, si le Premier ministre et le président de la Fedil s’accordent sur l’analyse de la situation, Robert Dennewald a fait part d’un sentiment mitigé quant aux mesures annoncées par le Premier ministre pour redresser l’économie luxembourgeoise.
«Considérant la gravité de la situation, nous sommes d’avis que l’on ne pourra pas se contenter de «gérer» le mal de notre pays: un appareil productif en panne de compétitivité...
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