Le Premier ministre grec George Papandréou assure que son pays s'efforce de remettre de l'ordre dans son budget et a demandé aux marchés d'en tenir compte. A l'issue de son premier voyage aux Etats-Unis en tant que chef du gouvernement grec, il a assuré qu'Athènes, en montrant du doigt les spéculateurs, ne cherchait pas un "bouc émissaire" qui serait responsable de ses difficultés. Il a ajouté que le président français Nicolas Sarkozy, la chancelière allemande Angela Merkel, et le président de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker soutenaient la Grèce dans son appel d'un encadrement des marchés déréglementés, comme celui des credit default swaps (CDS), accusés d'accentuer les problèmes de la Grèce en pariant sur sa dette. "Comme nous faisons ce que nous avons à faire, nous voulons être certains...
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