Etant donné que la plupart des entreprises sont devenues maîtres dans l’art de la gestion des attentes des analystes, la saison de publication des résultats amène de moins en moins de surprises. La tendance générale au ralentissement de la croissance bénéficiaire semble toutefois se poursuivre. Telle est le constat de Guy Wagner, chief investment officer de la Banque de Luxembourg, et de son équipe, publiée dans leur analyse mensuelle, les ‘Highlights’.
Après le rebond en février et mars, les marchés boursiers ont peu évolué en avril. Sur l’ensemble du mois, le SP 500 aux Etats-Unis, le Stoxx 600 en Europe et le MSCI Emerging Markets (en USD) ont progressé, alors que le Topix au Japon a reculé.
«Etant donné que la plupart des entreprises sont...
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