L'ALEBA rejette les mesures proposées par le gouvernement pour assainir les finances publiques telles qu’elles ont été présentées par le Premier ministre Juncker lors de la déclaration sur l’état de la Nation. Elles ne sont ni socialement acceptables parce que injustes, ni socialement équilibrées parce que quasi exclusivement à charge des salariés. Fondamentalement, l’ALEBA ne peut toujours pas concevoir la nécessité qui justifierait une mise en oeuvre précipitée des mesures d’épargne draconiennes. La dramatisation déterminée de la situation actuelle des finances publiques est en tout cas difficilement explicable. L'ALEBA exige donc des explications sur l'impact des diverses mesures anticrise sur la dette publique, telles que p.ex. les aides publiques d’environ 2,9 milliards d’euros...
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