La Commission européenne doit appeler les anciens Etats membres de l'UE à plus d'ouverture à l'égard des travailleurs d'Europe de l'Est, qui pourraient, selon elle, contribuer à redonner du souffle à leurs économies. "Malgré toutes les craintes exprimées lors des élargissements successifs, la libre circulation des travailleurs n'a pas conduit à des dysfonctionnements des marchés nationaux du travail", souligne Bruxelles dans son premier bilan depuis l'élargissement de l'UE en 2004. La plupart des quinze "anciens" membres de l'UE ont choisi de ne pas laisser venir travailler librement chez eux les Tchèques, Polonais, Estoniens, Lettons, Lituaniens, Slovènes, Slovaques et Hongrois après l'entrée de leur pays dans l'UE. Ils ont maintenu, à titre transitoire, des obligations d'obtention de...
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