Lors d'une conférence de presse au Luxembourg, le Premier ministre Jean-Claude Juncker a confirmé qu'il démissionnerait de ses fonctions en cas d'un "non" luxembourgeois lors du référendum sur la Constitution pour l'Europe du 10 juillet 2005. Ce serait une "affaire de décence élémentaire vis-à-vis des électeurs luxembourgeois". "En cas de 'non', ce n'est pas au peuple de partir, c'est à moi de m'en aller... C'est ça la démocratie", a souligné Jean-Claude Juncker.
|