L'élection de Barack Obama à la Maison Blanche, et surtout la levée de l'incertitude politique pesant sur la première économie mondiale, ont été accueillies avec modération mercredi par les marchés, qui ne perdent pas de vue les problèmes qui s'accumulent sur l'économie mondiale. Obama a basé sa campagne sur le mot changement et l'espoir de changement. Cela va apporter un certain optimisme au marché, avec le sentiment que l'on a peut-être tourné la page" après des mois de campagne et une dramatique crise financière, observait à New York Marc Pado, de Cantor Fitzgerald. "L'incertitude est le principal problème du marché", rappelait Sherrill Shaffer, ancien chef économiste à la Réserve fédérale de New York, qui s'attend à une "stabilisation" des marchés après des semaines de tourmente. Après...
|